Les convictions de Sinon

Même confinée, découvrez pourquoi l’équipe continue de se démener/

Après une année, pour le moins confinée, l’équipe de Sinon voulait donner sa vision des faits, face aux difficultés rencontrées. Retrouvez les réactions spontanées de cette équipe qui veut avant tout permettre aux jeunes de s’exprimer, de se faire écouter… au travers d’un magazine de société.

Pour Magali Fenech, chargée de coordination et rédactrice en chef du magazine Sinon, cette année a été le plus gros défi qui lui a été imposé. Le confinement a eu pour effet d’annuler la moitié des sujets préparés, il a donc fallu s’adapter. Malgré cette dure réalité, elle reste motivée, animée par ce projet qu’elle a aidé à monter, qui se regroupe autour de l’éducation aux médias, du travail collaboratif et de la mise en valeur du territoire.

 

C’est également ce qui plait à Alain Geffray, président de l’association Culture Pop, qui est à l’initiative de ce magazine de société. Pour cet ancien professeur de lettre et d’art plastique, passionné de culture, ce projet est plus qu’un bout de papier, il s’agit de valeurs bien ancrées « ce qui m’a excité toute ma vie c’est d’éveiller de jeunes gens à la culture, leur permettre d’adopter un regard critique sur la société. ».

 

Ce souhait n’est pas soutenu que par les plus âgés. Pour Cléa, étudiante au lycée Saint-Louis et rédactrice depuis cette année, ce qui l’a motivée c’est « faire un projet avec une asso adaptée aux jeunes et le fait de faire passer des messages. ». Ce qui lui plait, c’est pouvoir s’exprimer sur des sujets variés et le partager. Selon Simon, photographe de Sinon, « c’était l’envie d’être utile, m’améliorer en photo et participer à un projet. ».

 

Finalement, Sinon, c’est plus que de l’information par et pour des jeunes de l’agglomération. Ce sont des convictions, que tous, nous partageons.

Texte : Yohan Ferré