Alex Lahey

Le dynamisme incarné/

Cette artiste originaire de Melbourne en Australie a 24 ans, et elle inspire la pêche et la joie de vivre ! Sa musique est rock-pop avec des tonalités grunge. Suite à la sortie de son premier albums intitulé I like you like a brother elle achève un tour du monde qui se terminera dans deux semaines aux États-Unis.
C’est dans sur la plage du carré VIP du festival les Escales 2018 qu’elle a accepté de répondre à nos questions.

Qu’est ce que ça te fait de jouer ici ce soir ?

Je suis heureuse, excitée. Jouer en France, à Paris c’est un rêve, mais de pouvoir jouer aussi en dehors de Paris c’est bien aussi. La France ne se résume pas à sa capitale. C’est la première fois que je viens à Saint-Nazaire.

 

Quelle son tes icônes musicales?

Il y en a beaucoup, Bruce Springsteen, bien sûr, mais aussi Annie Clark alias St. Vincent, une auteure compositrice américaine qui fait de l’indie pop, et puis pour en citer un troisième Courtney Barnett une auteure compositrice interprète qui vient aussi de Melbourne et qui fait de la pop garage.

 

Qu’écoutes-tu en ce moment ?

King Princess ! Suck mommy, Gordi, beaucoup de pop-music.

 

 

Mis à part la musique quels sont tes loisirs ?

Faire à manger, lire, et dormir. Ça fait du bien de faire une pause parfois ! J’aime vraiment beaucoup dormir. (rires) Mais j’aime beaucoup la musique donc c’est a la fois un job et un loisir.

 

Quand tu étais au lycée que voulais tu faire comme études ?

Je voulais faire de la musique. Mais j’adorais étudier, faire la fête avec mes amis et juste… m’amuser !

 

Voyager est-ce une des motivations pour exercer ton métier?

Oui, j’adore voyager, partir loin, découvrir, et après rentrer à la maison.

 

Quelle est ta boisson préférée ?

Le vin rouge ! (rires) la France, c’est bien pour ca.

 

Quel est LE morceau qui te fait danser ?

Je dirais Smooth par Santana.

 

Et ton expression fétiche ?

Fu*ck ! Oui je crois que je dis vraiment trop souvent Fuck !

Texte : Samantha Le Nerrant Guihal - Photos : © Samantha © Sinon Magazine